Renoir a fait ses débuts dans le film muet, mais il a commencé à la lumière avec le film sonore, qui a marqué un tournant dans son travail tournant.
Le réalisme poétique est né comme un héritier direct de l'avant-garde française des années vingt, avec quelques auteurs mouvements contemporains expérimentaux, mais plus fidèle au cinéma narratif, si chère au public.
Les nouvelles œuvres ont développé une narration «poétique», enrichie de quelques-uns des objets découverts dans les expériences de la décennie précédente.
Jean Renoir est comparable au réalisme poétique, mais son travail va au-delà de ce mouvement et contribue à la fondation du cinéma moderne.
En ce qui concerne la technique utilisé, Renoir présente de longs plans dans le mouvement mais sans se détacher (plan séquence), qui comprenait un épisode entier, et récupéré la profondeur de champ à l'aide de vieux objectifs. Avec ces mesures, la reprise a acquis une forte charge subjective, imitant l'apparence d'un spectateur occasionnel, comme si il allait passer à partir de là descendant dans l'histoire.
Bien que Flaubert n'a pas apprécié en particulier le style de Balzac ou de Zola, le roman est considéré aujourd'hui comme un exemple typique de réalisme, qui a contribué au procès pour obscénité. Flaubert, comme l'auteur de l'histoire, pas juge directement la moralité d'Emma Bovary et refrains de condamner explicitement l'adultère. Réalisme Flaubert vise à similitude réelle, ou de donner l'illusion de la réalité. Flaubert détestait être considéré comme le leader du réalisme que son esthétique visant à une reproduction non-mimétique de la réalité (la soi-disant réalité imaginaire).
Son réalisme a une base documentaire solide; rien est inventé. L'héroïne, protagoniste du roman est de plus en plus insatisfaite par ses fantasmes, ne peuvent pas se réaliser.
Madame Bovary est un commentaire à la culture de l'époque dans laquelle il vivait Flaubert, et ceci est rendu clairement dans l'absurdité de personnalités scientifiques "rationnels", la futilité des rites de l'Église, etc. . .
A conclure je inclure une citation du poète faisant allusion à le langage verbale comme un moyen pas toujours le premier choix. Dans Madame Bovary il ya beaucoup de mensonges et de quiproquos résumées dans ces quelques lignes.
« ... et le langage humain est similaire à un tambour cassé sur lequel nous battons des mélodies pour faire danser les ours, et ce que nous voulons est de faire de la musique que commuova les étoiles. »
(Gustave Flaubert)
Flaubert et son réalisme dans Madame Bovary Gustave Flaubert ècrit Madame Bovary,un chef-d'oeuvre qui a changè la littèrature française. L'auteur ècrit un roman qui veut être un hymne au rèalisme et,en même temps,une condamnation au romantisme;en effait dans Madame Bovary (livre) on voit comme le personnage d'Emma est,apparemment,condamnè par son auteur.Pourquoi? Emma Bovary est une femme qui vit dans ses rêves romantiques:l'amour et la passion à la base de tout;ceci lui portera à détruire sa vie,ses rêves se transorment en cauchemars. Pour cette raison Flaubert veut dècrire la rèalitè telle qu'elle est,en effait il s'ètait documentè pour ècrire ce roman et mettre en scène ses personnages.Il veut refuser l'invraisemblance et les excès. Dans le film de Chabrol on peut commencer avec une citation de l'auteur :"J’ai travaillé sous l’œil de Gustave, un portrait qui me regarde tantôt avec bienveillance, tantôt avec sévérité" Chabrol a voulu être le plus fidèle possible au roman parce qu' il considère Madame Bovary son rêve d’œuvre d’art,il ne veut pas la "toucher".Il dit que le dètail est la partie plus importante dans le scènario,on doit rendre visible ce qu'on lit dans le roman donc on peut affirmer que le film de cet auteur est fidèle au livre.
Il débute dans le cinéma dés l'âge de 12 ans comme
projectionniste dans un garage d'un petit village de la Creuse.
Après ses études secondaires , il
s'occupe des études de droits et puis de pharmacie.
Quand il arrive à Paris, il frequente le ciné-club du
quartier latin, où il rencontre Truffaut, Rivette, Godard et Paul
Guégauff, qui deviendra son scénariste.
Claude Chabrol entre aux "Chaiers du Cinéma"
en 1953 et il devient un critique ; puis il fréquente la
Cinémathèque de Claude Langlois .
Dès ses débuts il défend la "politique des
auteurs"et à propos du film Chantons sous la pluie de
Kelly et Donen, Claude Chabrol écrit : "il s'agit bien, cette fois,
d'un film d'auteur, ce qui est rare dans ce genre de production".
Selon Chabrol à l'intérieur du
carcan des studios hollywoodiens, un réalisateur, malgré les règles et les
conventions qui régissent les productions, peut imposer son style.
En 1957, il publie avec Éric Rohmer un livre
sur Alfred Hitchcock .
En 1958 Chabrol réalise, avec l'argent d'un héritage,
un premier film dont les circonstances font qu’il devient le manifeste de
la Nouvelle Vague : Le beau Serge.
Il se marie à Agnès, une riche héritière ce qui lui permet de
fonder sa société de production.
En 1956 Il produit un court métrage de Jacques
Rivette, Le Coup du berger avec Jean-Claude Brialy
et François Truffaut, dont il est aussi scénariste.
En 1957, il publie avec Éric Rohmer un livre
sur Alfred Hitchcock et en 1958 Chabrol réalise, avec l'argent
d'un héritage, un premier film dont les circonstances font qu’il devient
le manifeste de la Nouvelle Vague : Le beau Serge.
Les Cousins sort la même année ; il s'agit d'une
crépusculaire étude de mœurs dans un Paris partagé entre existentialisme et
misère..
Il montre déjà son originalité et son regard à la fois féroce et plein
d'humour.
L'année suivante, il est mal compris avec Les bonnes femmes où
l'on trouve une vision acide des femmes.
Chabrol divorce pour épouser en 1964 la comédienne Stéphane Audran, qui
sera très souvent son interprète.
Chabrol dit
qu'il est fasciné par la bêtise, qui va devenir un des thémes clés de
son l'œuvre
Selon
Chabrol "la bêtise est infiniment plus fascinante que
l'intelligence. L'intelligence, elle, a ses limites tandis que la bêtise n'en a
pas. Voir un être profondément bête, c'est très enrichissant et l'on a pas à le
mépriser pour autant."
Après une
période de réalisation de films d'espionnage,il produit, à partir de 1968, une
série de films comme Les Biches, La femme infidèle (1969), Que
la bête meure (1969) et Le boucher (1970).
Puis il s'occupe
de l'analyse décapante des mœurs de la petite bourgeoisie avec Docteur
Popaul (1972) ou Violette Nozière (1978) où apparaît
la jeune Isabelle Huppert qui deviendra l'égérie du cinéma de Claude Chabrol
dans les années 80-90.
Les années 1990
sont peu être plus que jamais les années Chabrol avec des chefs d'œuvre
comme La cérémonie (1995) servie par les interprétations
époustouflantes de Sandrine Bonnaire et d'Isabelle Huppert, ou encoreL'enfer (1994)
avec la très belle et troublante Emmanuelle Béart .
En 1991 il y a
la sortie deMadame
Bovaryet il s'agit d'un
film inspiré du roman éponyme de Gustave Flaubert et
il y a encore l'acrtice Isabelle Huppert.
Chabrol reçoit, pour l'ensemble de son œuvre
cinématographique, le prix René-Clair de l'Académie
française en 2005, la Caméra d'or de la Berlinale 2009 et
le Grand prix 2010 de la SACD.
Claude Chabrol
meurt à son domicile le ,
notamment de problèmes respiratoires et il est inhumé le 17
septembre après un rassemblement des proches et des amis, sur le parvis de
la Cinémathèque française.
Le style
Chabrol
a tourné beaucoup de films et bien sûr certains de ces films sont des
films fait pour renflouer sa société de production et , selon ses propres aveux
pour payer ses payer ses impôts.
Chabrol a
toujours porté un regard affûté mais tendre sur l'humanité et
ses réalisations tournaient toujours autour des mêmes thèmes; par exemple
Il savait que l'homme est un animal et le démontra tout le long de sa
filmographie.
(Deux de ses
meilleurs films, Le Boucher et Que la bête meure,
en 1969, avec Jean Yanne, ne parlent que de ça : la culture ne peut rien contre
les bêtes humaines).
Mais Chabrol
sait aussi prendre des risques comme par exemple en 1980, il s'est lancé dans
l'adaptation du Cheval d'orgueil, le roman breton de Pierre
Jakez-Elias, avec des comédiens peu connus .
Propos du réalisateur
J’ai voulu être le
plus fidèle possible au texte de l’auteur. J’essaie de faire le film qu’il
aurait fait s’il avait eu une caméra au lieu d’une plume. Il fallait que
j’arrive à le faire pour pouvoir continuer à me regarder dans la glace. C’est
une nécessité profonde, parce que Madame Bovary correspond à mon rêve d’œuvre
d’art, où fond et forme ont autant d’importance l’un que l’autre et s’exaltent
réciproquement. Le roman contient dans un récit limité et daté une sorte de
condensé de toute l’histoire du monde. C’est une œuvre qu’il ne faut pas
toucher, à moins d’avoir la folie d’oser. Comme Gustave Flaubert, il m’est
arrivé de passer l’après-midi à rajouter une virgule que j’avais mis la matinée
à supprimer. Il y a très peu de dialogues dans le livre, mais tous les
dialogues du film sont des phrases de Flaubert. J’ai travaillé sous l’œil de
Gustave, un portrait qui me regarde tantôt avec bienveillance, tantôt avec
sévérité. Quand on s’attaque au projet de transposer l’œuvre d’un grand
écrivain pour en faire un scénario, on s’aperçoit bien souvent, en descendant
dans le détail du texte - et pour «mettre en scène» un texte, c’est souvent le
détail qui devient essentiel - on s’aperçoit donc que le grand écrivain est une
sorte de magicien et que son texte est bourré de tours de passe-passe. C’est la
qualité de son écriture qui permet à l’écrivain de faire illusion, et le
lecteur ne s’aperçoit pas du tour qu’on lui joue. Mais en réalité, s’il
s’agissait de visualiser concrètement ce que le texte nous raconte, ce serait
souvent carrément impossible. Très souvent, par exemple, la même personne, au
même moment du récit, dans la même scène, se trouve simultanément à la fenêtre
et dans un autre endroit de la pièce. Et encore mon exemple est simple, on peut
trouver une solution. Mais c’est souvent beaucoup plus sérieux que cela, et ça
devient insoluble. Or, ce genre de tour de passe-passe que permet l’écriture,
le type qui écrit son scénario se trouve obligé de l’adapter pour le rendre
viable dans l’espace et le temps, pour le mettre en scène, quoi… Quand il faut
passer à la dimension visuelle, on ne peut plus tricher : il faut pouvoir voir
les choses, les reconstruire visuellement et les donner à voir. Et avec ces
exigences, il y a des pans entiers de la littérature qui ne peuvent pas passer
directement à l’écran : ce n’est pas faisable. Voilà. Eh bien, chez Flaubert
c’est un problème qui ne se pose pratiquement jamais : on peut transcrire au
centimètre près le nombre de pas que le personnage a dû faire nécessairement
pour aller de la fenêtre à la porte, le temps qu’il a fallu, ce qui a pu se
passer entre temps, etc. C’est absolument fabuleux : il n’y a plus aucun
problème pour adapter, les conditions de la mise en scène sont déjà intégrées à
l’écriture.
Jean Renoir , le fils du célèbre peintre , était un directeur, un scénographe et un écrivain français . Son était une longue carrière qui a débuté en 1924 et a pris fin en 1969, quand Renoir était âgé de soixante -cinq ans. Dans les années vingt , il a produit neuf films muets . Dans les années trente , il a produit treize films sonores .
Entre les années quarante et les années soixante-dix Renoir produit quatorze films supplémentaires .
Le film qui a commencé la carrière de Renoir était " Foolish Wives " en 1921. A côté de Pierre Lestringez il a écrit le scénario du film Catherine ous Une vie sans joie en 1924 .
La Fille de l'eau (1924 ) est son premier scénario solo . Dans ce film il joue le frère Pierre . Il était un conte bucolique centrée sur l'esthétique impressionniste. Le film n'a pas vraiment réussi mais cela n'a pas découragé le directeur qui a décidé de produire un autre film Nana , basé sur le roman d'Emile Zola . Dans cette production , suivi du court métrage Sur un air de Charleston et le film Marquitta 1927 .
Plus tard, Renoir a tourné le film La petite Marchande d' allumettes , basé sur le roman de Hans Christian Andersen . Autres films mineurs de la période à retenir sont Tire -au- fianc de 1928 qui était une comédie militaire ; Le tournoi dans la cité 1928 ; Le Bled 1929 ; On purge bébé et le film 1931 qui a été filmé en seulement quatre jours .
Après ses débuts dans le film muet du film La Chienne de 1931 a marqué un tournant dans la carrière de Jean Renoir tournant . En fait, il a été l'un des premiers films parlants qui offraient un Michael Simon de ses plus beaux rôles . Il a joué , en fait, une meurtrière jaloux petite bourgeoise et lâche . Le film raconte l' histoire d'un ménage à trois entre un travailleur , une prostituée et son souteneur. La Chienne peut être considéré comme l'union entre un drame et une comédie , entre la mort et l'ironie . Dans ce film, il n’y a pas la division habituelle entre le bien et le mal .
Après La Nuit du Carrefour en 1932 dans laquelle il y a de nouveau son frère Pierre dans le rôle de l'inspecteur Maigret , Jean Renoir a produit une série de chefs-d'œuvre impressionnants du cinéma mondial y compris : Bondu sauvé des eaux, Chotard et Cie, Madame Bovary, Toni.
Jean Renoir a eu plus tard certains contributeurs qui ont donné à sa production de l'empreinte politique influencé par les idées du Front populaire : La vie est à nous , Le Crime de Monsieur Lange , La Marseillaise .
Au cours de la même période Renoir avait une collaboration avec Luchino Visconti dans le film Une partie de campagne , film où sont les racines de néoréalisme italien.
Jean Renoir a essayé avant la Seconde Guerre mondiale , avec le film La Grande Illusion (1937 ) afin de promouvoir un message de paix où il y a son père spirituel Erich Von Stroheim avec Jean Gabin .
Le film , comme on peut l'imaginer, est réglé au cours de la Grande Guerre : les officiers français sont maintenus captifs par les Allemands en une forteresse qui est dirigé par Von Rauffenstein , un homme de noble naissance ( von Stroheim ) . Les relations entre les caractères sont articulés long de lignes transversales selon les différences sociales . La grande illusion devient une sorte de clé pour le film de Renoir produits dans les années trente . L'influence de la peinture du père est très forte dans ce film qui est considéré comme son meilleur film par les critiques du XIXe siècle .
La bête humaine , le film de 1938 , représente le scenario de l'époque. Dans le film La règle du jeu (1939 ) Renoir prévoyait l'effondrement des valeurs humaines et il a décrit les coutumes de la société française de l'époque .
En 1941, Jean Renoir a été exilé aux États-Unis , il a alors décidé de prendre la nationalité américaine . Il n'a jamais été en mesure de s’adapter au système qu’il y avait à Hollywood , mais il a réalisé plusieurs films : L' Étang Tragique ; Vivre libre ; L'Homme du sud ; Salut à la France ; Le Journal d'une femme de chambre ; La Femme de la plage ; Le Fleuve .
Après la guerre, de nombreux cinéastes français sont rentrés chez eux . Mais Jean Renoir attardé parce qu'il avait un problème juridique après qu'il ait épousé Dido Freire aux États-Unis sans avoir attendu les papiers du divorce de l'épouse précédente , il a ensuite été accusé d'être bigame .
Au début des années cinquante Renoir revient à l'Europe où il a tourné Le Carrosse d'or (1955 ) , qui était un film basé sur le roman de Prosper Mérimée . Dans ces années, il a également produit le film Elena et les Hommes (1956 ) , un film basé sur le roman de Jacques Perret .
Renoir trouvé de plus en plus difficile de tourner son film , puis il a choisi de se consacrer à la télévision et plus largement à la littérature . Il a publié un livre sur son père appelé Renoir , Mon Père (1962 ) et il a également publié son autobiographie intitulée Ma vie et mes films de 1974. Enfin , il a publié un recueil de ses articles du cinéma et du journalisme , certains pièce de théâtre et quelques romans .
De 1970 jusqu'à sa mort en 1979, il a vécu à Beverly Hills . Son corps a ensuite été ramené en France et enterré dans le cimetière d'Essoyes .
Dans les deux scènes le personnages principaux qui apparaissent sont Emma e Charles, donc on ira analyser les acteurs qui ont interprété ces roles.
Film de Renoir
Emma Bovary: Valentine Tessier.
Cette actrice avait déjà 41 ans quand elle a tourné Madame Bovary. Elle a joué dans plusierus film muets et on peut le comprendre en regardant sa façon de jouer: elle est très théatrale, quelque fois exagerée aussi.
Valentine réussit avec les expressions de son visage à représenter beaucoup de sentiments différents: elle semble heureuse au début de la scène (quand elle réçoit la lettre), puis dévient agité et finalement désespéré.
Quand Emma retour chez Charles pour le diner, elle parait apathique; cet expression dure jusqu'à la conclusion de la scène: prise par les émotions, Emma s'évanouit.
Charles Bovary: Pierre Renoir.
Il était le frère de Jean Renoir, c'est-à-dire le directeur du film.
Pierre interprète seulement une petite partie à la fin de la scène, c'est à dire le dincer avec Emma: Chares semble ici un homme simple, mis pas très attentif aux émotions de sa femme. Film de Chabrol
Emma Bovary: Isabelle Huppert.
Son interpretation d'Emma est très différente par rapport à celle de Valentine Tessier, on peut dire plus actuelle et proche au cinéma moderne.
Isabelle en effet exprime sa douleur à travers les larmes, mais ne crie pas et semble plus calme. Seulement à la fin elle s'évanouit avec un cri très fort.
Charles Bovary: Jean-François Balmer
Dans la transposition de Chabrol il n'y a pas la scène du diner, donc Jean-François joueu ici un très petite partie. Charles semble ici (comme dans l'interpretation de Pierre Renoir) un homme simple, qui ne réussit pas à comprendre sa femme et surtout les tourments qu'elle est en train de vivre.
Dans les deux scènes il y a la
prévalence du lieu intérieur, c'est à a dire la maison des Bovary.
Dans la scène de Chabrol l'éspace
intérieur a une fonction particulière, car il soutien des jeux
entre lumière et ombre (par example quand Emma se trouve sur les
éscaliers en spirale ou quand elle arrive au grenier sombre, puis
éclairé par la lumière du jour quand Emma ouvre la porte).
L'éspace extérieur est visible
seulement au début, quand Gérard amène le panier et on peut voir
la rue avec des carrosses.
Dans la scène de Renoir on donne aussi
beaucoup d'éspace aux lieux intérieurs (la maison des Bovary et
surtout le grenier). Après la scène dans laquelle Félicité dit à
Emma que la soupe est prête, il y a un changement de la perspective
et on voit le carrosse sur lequel se trouve Rodolphe qui traverse la
rue (éspace extérieur).
On a une autre scène situé dans la
maison, dans laquelle Emma et Charles se trouvent à la table, mais
pendant la conversation, Emma voit, à travers la porte, le carrosse
sur lequelle se trouve Rodolphe, et puis on retourne dans la maison
des Bovary et Emma s'évanouit.